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Adulte

  • Favoriser le bien-être
  • Réflexion sur soi
  • Travail en partenariat
  • Ressentir de l’écoute et de la bienveillance
  • Améliorer la confiance en soi

quand consulter parentQuand consulter ?

Les idées reçues

« Un psy ça ne fait qu’écouter » : le patient vient déposer ses émotions, ses soucis…tout ce qu’il se passe dans sa vie et dans sa tête mais le psychologue ne fait pas que écouter. Il doit rester concentré sur ce que le patient apporte, doit mémoriser, soutenir la construction du lien, faire le lien avec la théorie qui l’oriente, guider la parole à l’aide de questions…il doit être présent mais pas trop et surtout soutenant et bienveillant en même temps.

« Un psy ? Pas besoin, j’ai mes amis, ils font le même job mais gratuitement » : un ami peut être à l’écoute mais cette écoute peut lui apporter des émotions qui l’envahiront et qu’il n’arrivera pas à contrôler telles que de la peine, de la tristesse, de la colère, de la révolte, etc. Un psychologue est un professionnel qui a la capacité de recevoir les émotions qui sont déposées lors de la séance.

« Le psychologue c’est pour les personnes qui ont un grave problème ou qui vont très mal » : il ne faut pas attendre que les choses n’aillent plus pour se tourner vers une aide professionnelle. Un travail en amont permet d’éviter certaines situations désagréables (exemple : burn-out, dépression, séparation difficile, disputes, etc). De plus, certains soucis peuvent sembler petits ou anodins mais ont en réalité plus d’importance que vous ne pensez. Il n’existe pas de problème qui ne soit pas suffisamment important pour consulter. Si ce problème est pesant alors cela peut constituer un bon indicateur de la nécessité d’aller voir un psychologue.

Voici une liste d’exemples de lorsqu’il peut être nécessaire de se tourner vers un psychologue :

Questionnements personnels : faire le point sur votre vie, identifier ce que vous souhaitez changer, pouvoir discuter de soi et de sa vie, la recherche de sens, quête de son identité, épanouissement personnel, se donner l’opportunité de devenir plus heureux, d’être en accord avec soi-même, etc.

Difficultés relationnelles : relations conflictuelles avec la famille ou les amis, difficulté à maintenir des relations, difficulté au sein du couple, stress et peurs qui envahissent, repli sur soi, isolement, timidité excessive, etc.

Difficultés en lien avec le corps : difficulté à accepter son corps, difficultés en lien avec l’alimentation, trouble du sommeil, mauvaise estime de soi, etc.

Difficultés professionnelles : stress important par rapport au travail, surmenage, sentiment d’envahissement, questionnement sur son avenir professionnel, etc.

Evènements de vie : deuil, changement de travail, déménagement, divorce, etc.

le début de l'accompagnement avec parentL’accompagnement

La première consultation est avant tout une rencontre entre le patient et le psychologue. Le cadre est présenté puis le psychologue essaie d’en savoir plus sur le motif de la consultation du patient ainsi que son environnement physique et social en posant des questions. Le patient apporte alors certains éléments de son histoire qui représentent de précieux éléments pour comprendre son fonctionnement. Il est possible qu’en fonction de la problématique, le psychologue oriente vers une consœur ou un confrère, ou une autre profession médicale si besoin.

Si les deux parties décident de travailler ensemble, sont alors discutées les modalités d’accompagnement. La durée dépend de la problématique du patient. Généralement, un rythme de 2 séances par mois est proposé mais cela dépend de la situation du patient.

Malgré une idée reçue existante sur la durée infinie d’une thérapie, il existe une fin à un accompagnement. L’arrêt ou la suspension des séances doit toujours être discuté entre le patient et le thérapeute. Tous les patients sont libres d’arrêter quand ils le souhaitent leur accompagnement mais il est important de laisser une séance au thérapeute pour clore ou suspendre le suivi.

les outils parentLes outils

Les échanges se construiront autour de la parole. Mais le psychologue peut être amené à transmettre et/ou construire des outils pour le patient. C’est principalement l’échange entre le patient et le psychologue qui fera naître les idées.